BRÈVES FEMMES

TABAC : Quand les femmes sauvent leur peau

Londres, 13 Décembre - La meilleure façon de faire arrêter les femmes de fumer c'est de leur montrer les effets nocifs du tabac sur la peau et son vieillissement prématuré. C'est ce qu'a démontré une étude publiée par le "British Journal of Health Psychology», dans lequel ont été montré à certaines fumeuses leurs visages modifiés avec un programme de morphing. La technique a été testée sur 47 femmes entre 18 et 34 ans, montrant l'effet du vieillissement de la peau auquel sont confrontées les fumeuses à long terme. "Beaucoup de femmes impliquées dans l'étude ont eu un véritable choc à la vue de leur potentiel futur visage" , a déclaré Sarah Grogan de la Staffordshire University, et les deux tiers d'entre elles ont affirmé arrêter le tabac sur la base de l'impact des cigarettes sur la peau". La prochaine étape de la recherche sera de vérifier dans 6 mois combien d'entre elles ont effectivement renoncé au vice, avant d'utiliser la technique à plus grande échelle.

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Garçon ou fille?

Londres 2 Novembre -Selon le Daily Telegraph, un simple test sanguin pour les femmes enceintes peut déterminer le sexe de l'enfant à naître dans la septième semaine de grossesse. L'analyse, qui selon le quotidien a une fiabilité de 99% est déjà disponible dans certaines cliniques privées dans le monde. Le test, qui coûte environ 350 € a été développé par Esther Guetta du Centre médical Sheba à Tel Aviv, cherche dans le sang de la mère des traces d'ADN de l'enfant à naître. Une fois trouvé, le génome est analysé pour la recherche d'un chromosome Y possible, qui prédit la naissance d'un garçon. L'analyse pourrait remplacer l'échographie, qui permet de déterminer le sexe à 20 semaines, mais cela adéjà soulevé une controverse, en effet, selon certains experts, savoir si tôt le sexe de l'enfant pourrait amener certains couples à avoir recours à l'avortement si le sexe n'est pas celui souhaité.

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Subir plus de trois avortements augmente de cinq fois le risque d'avoir une crise cardiaque.

le 3 décembre 2010 - C'est ce qu'a certifié une étude réalisée par le Centre de recherche sur le cancer de Heidelberg, publiée dans la revue 'Heart'. La raison de ce lien n'est pas pourtant claire pour les médecins. L'étude a porté sur 11.500 femmes entre 30 et 60 ans, et les grossesses eues par celles qui ont souffert d'attaques cardiaques, en comparant ces données avec le taux d'avortement chez les autres femmes. .

De cette façon, ils ont vu qu'une femme sur quatre qui avait subi un avortement, même si le nombre pourrait être plus élevé étant donné que de nombreuses d'entre elles restaient enceintes et perdaient le bébé sans le savoir. Considérant d'autres facteurs de risque liés à des attaques cardiaques, tels que le poids, l'alcool et le tabac, il s'est avéré qu'avoir subi trois avortements ou plus, augmente le risque de crise cardiaque de plus de 500%. Le risque observé était plus faible chez les femmes qui avaient avorté moins de trois fois. L'augmentation de cinq fois plus de risque de crises cardiaques se refère à celui des femmes les plus jeunes, dont le risque est de toute façon faible.

Dans l'échantillon des 2.876 femmes qui ont subi un avortement, il y en a eu 82 qui ont souffert des crises cardiaques dans une période de 10 ans. Toutefois, pour certains médecins, le lien entre les avortements et les infarctus demeure préoccupant." Il est possible qu'il y ait un un facteur de risque commun" - a déclaré Gordon Smith de l'Université de Cambridge - qui prédispose soit à l'avortement que l'infartus. Pendant la grossesse il se manifeste précisément avec l'augmentation du risque de perdre le fœtus, et au cours des années, avec le risque de crise cardiaque. Peut-être par une plus grande propension à la coagulation du sang.''