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Le blog des séropositifs en colère
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9 novembre 2012

Décès d'Arafat : Sida ou polonium ?

arafat1

09 novembre 2012


Selon l' Associated Press, l'exhumation de Yasser Arafat aura lieu le 26 novembre prochain pour d'effectuer un prélèvement en vue d'analyse et suite aux traces anormalement élevées de polonium relevées sur ses effets personnels. Les enquêteurs français et les techniciens suisses sont déjà sur place à Ramallah.

Le site Buffa a publié un texte de l'un de ses lecteurs très attentif aux données scientifiques que nous publions dans son intégralité:

"Mais combien de polonium exactement a été découvert sur les effets personnels d'Arafat? Polonium 210 a une demie-vie de 138,4 jours, ce qui signifie que tous les 138,4 jours la radioactivité est divisée par deux. Arafat est mort en 2004, donc depuis, le radioactivité a été divisée par 2 une vingtaine de fois, est actuellement d'environ un millionième de ce qui devait être en 2004. Si les effets personnels d'Arafat, et par conséquence d'Arafat lui-même sont maintenant radioactifs et en mesure d'être détectables, ils devaient être un million de fois plus radioactif: est-il possible que dans l'hôpital où il a été admis, personne ne l'ai remarqué" ?

Yasser Arafat, comme l'écrit Buffa dans son article est mort du sida.

"Quand j'ai demandé aux médecins de quoi était mort d'Abou Ammar ( Arafat ), ils ont marqué un certain temps de silence, puis l'un d'eux m'a dit: pour être honnêtes, la France nous a donné le rapport médical qui a établi que la cause de la mort d'Abou Ammar était le sida".

Les premiers à l'avoir su et à le savoir encore, que Yasser Arafat n'est pas mort suite à un empoisonnement au polonium (vieilles histoire déjà sortie avec peu de succès au lendemain de sa mort à Paris en Novembre 2004), mais d'une maladie infectieuse transmise par des rapports sexuels à risque, probablement le sida, sont ses ex associés de l'ANP (Autorité nationale palestinienne) . Pour la crédibilité, voir une vidéo de la télévision du Hezbollah Al Manar de Juillet 2007, dans laquelle Ahmed Jibril, dit clairement qu'à l'hôpital où Arafat est décédé les médecins parlaient de vih.

Ahmed Jibril était à l'époque l'un des chefs du FPLP, Front Populaire pour la Libération de la Palestine. Le film a été repris et diffusé par Memri, l'institut bien connu qui surveille toutes les bêtises des médias du monde arabo-islamique et les répand dans la langue originale avec sous-titres. Bien sûr, il est toujours possible que l'hypothèse de l'empoisonnement, selon l'enquête de Al-Jazira, peuvent coexister avec le mal contracté par Arafat. Ion Pacepa, l'un des chefs des services roumains sous le régime de Ceaucescu, a parlé des mœurs sexuelles d'Arafat dans le livre "Horizons rouges".

Le leader aurait été victime de chantage par les services de l'Est parce qu'il avait été filmé pendant qu'il essayait d'abuser d'un mineur de l'équipe olympique roumaine offert comme appât. Comme périodiquement la propagande islamically correct en Europe, et celle des Palestiniens au Moyen-Orient, sort les rumeurs d'empoisonnement par le Mossad il est bon d'informer les lecteurs sur les circonstances que l'on tend plutôt à supprimer. Pour la petite histoire Yasser Arafat est décédé le 11 Novembre 2004, à trois heures et demie du matin dans une clinique de Paris, où il avait été admis un mois plus tôt.

Tout le monde se souvient quand ils sont arrivés les images télévisées d'Arafat en pyjama, entouré de ses fidèles. Le regard absent. A côté de lui il y avait Suha, sa femme, qui dans les années de la Seconde Intifada n'avait jamais été à Ramallah parce haïe par son peuple, après la diffusion de sa vie hollywoodienne, avec sa mère, à faire du shopping à Saint-Laurent avec l'argent destiné aux Palestiniens. Souha a réussi à convaincre Arafat d'aller à Paris pour se soigner. Les derniers jours il fût l'invité de Jacques Chirac, le Président français.

Puis, après sa mort, Abou Mazen et la direction nationale de l'ANP se rendirent en pèlerinage chez cette femme pour récupérer au moins une partie des près de 200 millions d'euros, en provenance principalement de l'argent reçu pour aider le peuple palestinien par l'Europe et les États-Unis. Il semble qu'à la fin ils ont trouvé un compromis fifty-fifty. Le mythe était déjà dans la poussière. Maintenant, avec cette enquête ouverte par la magistrature de Paris, un point final sera sans doute mis à toutes les hypothèses conspiration et fera sortir des tiroirs ce qu'il reste des fiches cliniques d'Arafat.

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