BRÈVES FEMMES

Les histoires d'une nuit plaisent aussi aux femmes

Washington, le 24 Février - Contrairement à ce que l'on pense, les les hommes et les femmes ne sont pas si différents, surtout quand il s'agit de sexe. En particulier, une nouvelle étude de l'Université du Michigan a constaté que les femmes sont intéressées de la même manière que les hommes par le sexe occasionnel.

Si elles se refusent, comme le rapporte la revue Journal of Personality and Social Psychology, c'est pour une bonne raison: quand elles n'ont pas la certitude d'atteindre le plaisir. Le psychologue Terri Conley, qui a coordonné l'étude, aurait démontré que si les femmes perçoivent chez le partenaire un puissance "sexuelle" déterminée, elles ne refuseraient pas l'occasion d'avoir un rapport intime avec un inconnu.

C'est parce que, selon les scientifiques, les femmes, comme les hommes, sont motivé(e)s par la recherche du plaisir.

Sauf qu'elles sont moins susceptibles d'être satisfaites par une brève renconcontre et elles le savent. Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont re-analysé une série d'expériences menées dans une étude réalisée en 1989 par Russell Clark et Elaine Hatfield. Dans ces expériences, les scientifiques ont découvert que si une étudiante de collège faisait des avances sexuelles à un collègue masculin, plus de 70% des garçons disaient oui.

Toutefois, lorsque les rôles étaient inversés, aucune femme n'acceptait la proposition «indécente». Dans un premier temps l'hypothèse soutenue par les chercheurs pour expliquer cette différence dans les attitudes au sujet des rapports sexuels occasionnels est que les hommes et les femmes ont des stratégies évolutives différentes: les femmes sont sélectives sur les partenaires sexuels parce qu'elles cherchent le "bon" qui lui garantisse la sécurité une fois que la progéniture naît, mais les hommes ont évolué pour répandre le plus possible leur patrimoine génétique et donc plus voués à de rapports sexuels avec différentes partenaires.

Bien que Conley ne nie pas cette explication évolutive, son point de vue et très différent. Son approche, appelée 'Pleasure Theory' est relativement nouvelle et part de l'hypothèse que "la recherche du plaisir est la force centrale qui motive le comportement sexuel" et que la reproduction est "un sous-produit de cet effort". Selon cette thèse, soit pour les hommes soit pour les femmes, ils et elles veulent juste s'amuser, et ensuite la biologie s'occupe du reste.

Alors pourquoi les filles et les garçons de l'étude de 1989 ont réagi de façon différente à l'offre d'un rapport sexuel occasionnel? Après avoir mené une nouvelle série d'expériences, Conley a démontré que les hommes et les femmes ne sont pas si différents dans l'approche du sexe occasionnel.
Sauf que, pour atteindre le même but les sont moyens différents. Alors que pour les hommes il suffit de trouver une partenaire attirante pour avoir une rencontre sexuelle agréable, pour les femmes il n'en est n'est pas ainsi.

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Un bracelet pour éviter les disputes

Londres, le 23 Février - C'est un signal d'avertissement pour les hommes, utile pour éviter la collision avec son partenaire lorsque des changements hormonaux la rendent un peu plus nerveuse.
C'est un nouveau bracelet qui change de couleur lorsque la femme est en phase pré-menstruelle. Il s'agit d'un gadget qui pourrait aider à rendre les hommes plus compréhensibles pendant certaines périodes du mois ou du moins qui fonctionne comme un préavis pour les sautes d'humeur soudaines de la partenaire.

Son fonctionnement est basé par la surveillance des changements subtils dans la température du corps d'une femme au cours de son cycle mensuel. C'est ce qu'on appelle "Help for Husbands" (Aide pour les maris) et a été inventée par Karl Dorn, peintre de 43 ans de l'Essex (Royaume-Uni), qui a gagné une place en finale du concours Dragons' Den-style, dirigé par un milliardaire local qui offre 100 000 sterlines aux meilleures idées. En réalité, ce bracelet est pour le moment plus une idée que d'une invention brevetée. Mais Dorn a déjà une certaine expérience sur les prototypes novateurs, vu qu' il y a quelques années a créé une prise pour faire des économies énergétiques qui a remporté 10 000 sterlines au même concours.

L'idée est née après bavardé avec des amis dans un pub et après avoir écouté leurs mésaventures conjugales. Maintenant, l'inventeur britannique espère réaliser ce bracelet révolutionnaire et le vendre pour quelques sterlines. Le mécanisme utilisé n'est pas très compliqué. Dorn voudrait doter le nouveau bijou d'un thermomètre qui mesure la température du corps et qui change de couleur à l'approche du cycle menstruel. "C'est une aide visuelle pour les hommes", dit-il au journal britannique le Daily Mail. " A travers mes recherches, j'ai découvert - conclut Dorn - que la température du corps augmente de certaines femmes à certaines périodes du mois.
Ce bracelet pourrait le signaler.

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Les bouffées de chaleur associées au coeur

 Chicago e 24 février 2011 - Les femmes qui souffrent de bouffées de chaleur et sueurs nocturnes dans les premiers stades de la ménopause pourraient avoir moins de probabilités d'être victime d'un infarctus en avançant dans l'âge. C'est ce que soutiennes certains chercheurs américains, qui ajoutent, cependant, que celles qui développent ces symptômes à une phase plus avancée de la ménopause pourraient courir un risque plus élevé de souffrir de troubles cardiaques. La découverte a été publiée par l'équipe de chercheurs dans la revue Menopause