BRÈVES VIH

Boom du sexe oral aux États-Unis

le 20 août 2012

C'est peut-être la crainte d'une grossesse non désirée ou l'idée que le sexe oral n'est toujours pas du "vrai sexe". C'est peut-être également la terreur propagée par les maladies comme le vih.

Selon les Centers for Disease Control and Prevention d'Atlanta, il y a de nombreux facteurs qui au cours des 20-30 dernières années ont fait croître le recours au sexe oral, qui est devenu pour beaucoup d'adolescents aux États-Unis la première forme de rapport sexuel.

Entre 15 et 24 ans, une fille sur 4 a eu des rapports sexuels oraux avant un rapport "complet", souvent dans l'inconscience des maladies qui peuvent être transmises dans ce cas, révéler la CDC, citant le vih et d'autres infections sexuellement transmises, la gonorrhée, la chlamydia, l'herpès génital, et même la syphilis. Sans oublier les risques que le virus du papillome peut comporter pour le développement de cancer oral.

En réalité, les maladies sexuellement transmissibles sont en augmentation constantes chez les jeunes entre 13 et 29 ans. En particulier, on sous-estime la possibilité d'infection par le vih, qui n'est pas inexistant dans le sexe oral, comme la possibilité de transmettre le virus le papillomavirus, qui augmente le risque de 50% la probabilité de développer un cancer de la gorge, selon certaines études.

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LE CELSENTRI ET LE CANCER DU SEIN

Les médicaments qui inhibent le récepteur CCR5, comme le Celsentri, pourrait aider à prévenir le cancer du sein en ce que l'antagoniste bloque le récepteur CCR5 apportant une thérapie d'appoint dans la réduction du risque de métastases correlées.

La recherche, menée par Pestell de la Jefferson University de Philadelphie, confirme que le médicament empêche la desquamation des cellules tumorales dans d'autres tissus du corps. La découverte est une base intéressante pour approfondir le rôle des antagonistes du CCR5 dans une pathologie différente.
15/06/2012

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PROBLÈMES DE COEUR

Le tabac et drogues sont plus fréquents chez les personnes vivant avec le vih.

Donald McMeil Jr sur le New York Times du 15 Juin a rapporté des entrevues avec des médecins américains qui confirment une prévalence d'événements cardiovasculaires chez les personnes jeunes vivant avec le vih.

En plus des facteurs familiaux, le tabac et les drogues, on assiste à une augmentation de la pression artérielle dans un grand nombre de sujets.
L'auteur conclut que les personnes vivant avec le vih ont un risque accru de crise cardiaque quatre fois plus élevé que la population générale, sur la base d'un rapport du Dr Hsue, publié en mai dans le Journal of the American College of Cardiology.